Il se tape des jumelles…

Se taper des jumelles

La première fois que j'ai vu Florence j'ai bandé si fort que j'ai dû aller me branler aux toilettes. Sexy, avec une belle paire de gros seins, une taille fine, des hanches rondes et voluptueuses, elle m'a conquis. Grande blonde plantureuse mais pas "grasse", des grands yeux verts pétillants de malice, les cheveux clairs entourant son beau visage éclairé d'un sourire coquin, j'étais à ses pieds. Elle du me trouver à son goût puisque sur le chemin du retour quand je l'ai raccompagné chez ses parents, elle m'a laissé l'embrasser et la lécher dans la voiture au détour d'un chemin de forêt. Je lui ai fait une cour assidue pendant quelques semaines, heureux d'avoir trouvé ma perle, à 32 ans j'étais prêt à me lancer dans la grande aventure. Florence est celle qu'il me fallait, joyeuse et remplie de vie, pleine de désir, nous faisions l'amour dans un tas d'endroits insolites et j'étais un homme comblé car tout comme moi elle adore la baise hard et n'est pas farouche. Elle se confia un peu sur ses anciens plans culs décevants et m'avoua qu'à une époque elle avait eu recourt à un site pour faire des rencontres coquines ou baises d'un soir mais je m'en foutais, j'aimais sa franchise et son ouverture d'esprit. Elle me parla un peu de sa famille et m'appris qu'elle avait une sœur jumelle. Alors ça c'était sacrément étonnant. J'en revenais pas mais j'évitais de me montrer trop curieux. Le jour des présentations arriva enfin, j'étais aux anges en découvrant le parfait sosie de mon amoureuse. Je dînais avec ma délicieuse petite amie assise près de moi, et en face de moi à la même table j'avais sa copie conforme : Carole. Sa famille était charmante mais en vérité je ne voyais que sa sœur et cela m'excita d'une manière inimaginable.

Je trouvais ce genre de situation assez incroyable. Avec le temps et l'expérience j'ai su les reconnaitre facilement ce qui d'ailleurs les amusait beaucoup. Certains petits signes ne trompent pas. C'était sympa mais aussi très excitant surtout lorsqu'elles étaient ensemble. Quand Carole nous rendait visite j'avais la drôle de sensation d'avoir deux femmes pour moi tout seul à la maison. 1 an plus tard je l'épousais, car j'avais peur qu'on me la pique. Une première année s'écoula, nous nous satisfaisions l'un de l'autre, nous étions fort amoureux.

Et pourtant au fond de moi un désir fou me taraudait. Depuis le jour où j'avais croisé sa jumelle Carole un fantasme un peu "cliché" avait germé dans mon esprit coquin et viril. Faut dire qu'elles ne font pas exception à la règle, elles sont souvent ensemble, déjà dans leur temps libre mais aussi en vacances car le petit ami de Carole possède une villa en bord de mer. Quand je vois ma belle-sœur avec son copain je ne peux pas m'empêcher de me demander si Carole est aussi demandeuse que sa sœur et si elle aime autant le jus car ça, c'est le péché mignon de ma Florence. Quand je les regarde l'une avec l'autre en train de rire ou de s'amuser je les imagine sur notre lit conjugal en train de s'embrasser, en string avec leurs gros seins nus qu'elles frottent en se caressant mutuellement, rien que d'y penser j'ai mon pénis qui gonfle dans mon boxer moulant. Deux cochonnes pour moi tout seul. Finalement le destin m'a donné un petit coup de pouce puisque Carole s'est séparée de son ami et que ma femme m'a demandé si je voulais bien qu'elle passe quelques jours parmi nous, histoire de lui remonter le moral. J'ai accepté car cela allait servir mes intérêts. J'avais deux femmes à la maison et j'avais envie de les baiser toutes les deux. J'ai donc décidé de passer à l'offensive car à force de les voir en petite tenue se trémousser près de moi je n'en pouvais plus. J'ai préparé un souper délicieux en fin de semaine et de la sangria "maison" car c'est une de leur boisson préférée. Elles sont entrées du travail à quelques minutes d'intervalles et elles ont été toutes les deux bluffées, la table était dressée comme un jour de fête et en plus des "mises en bouche", j'avais même pensé aux fleurs. Elles se sont changées et sont venues me rejoindre au salon où leurs verres les attendais. Carole portait une robe noire d'été moulante à petits volants sur les cuisses et au décolleté époustouflant, et comme par magie ma femme portait la même robe de couleur rouge. J'ai souri et elles sont venues ensemble m'embrasser sur mes joues. L'ambiance joyeuse me permit de m'asseoir entre elles deux. Ma femme me collait en me regardant amoureusement et là Carole lui dit :

"Ton mari est adorable mais tu le mérite car tu es une sœur géniale".

Ma femme répondit en rigolant : "si tu veux exceptionnellement pour ce soir je te le prête mais à la seule condition que je reste avec vous".

Nos éclats de rire noyèrent la fin de la phrase puis ce fut un léger silence, on se regardait un peu étonnés tous les trois. C'est ma femme qui prit les devants en mettant de la musique. Elles commencèrent à danser sous mes yeux, elles étaient super excitantes, puis elles se collèrent pour danser l'une contre l'autre. Là je me suis senti chaud, dur et tendu. Je remplis les coupes de Sangria et trinqua avec elles. Les voir prendre des morceaux de fruits et les porter à leur bouche pour les aspirer sensuellement tout en passant la langue partout sur leurs lèvres afin de bien récupérer tout le jus me donnait des frissons partout. Elles souriaient en me jetant des regards complices et aguicheurs. Elles faisaient plaisir à voir. Au bout d'un moment elles reviennent s'asseoir sur le canapé en se lovant contre moi, je précise "toutes les deux". Je savais qu'elles allaient se donner à moi. Ma femme me fit un clin d'œil et embrassa Carole sur la bouche. Puis elle me roula ensuite une pelle. Elle murmura à Carole : "A toi". Carole se pencha sur moi pour m'embrasser, je répondis à son baiser puis elle retourna vers la bouche de sa sœur. Un baiser différent de celui de Florence mais très agréable, j'étais sur une autre planète. Ma femme se leva, tendit une main vers Carole et une autre vers moi et comme 2 aimants nous l'avons suivi jusqu'à la chambre. J'ai compris à ce moment-là qu'elles avaient déjà tout décidé d'avance : aucune d'elles ne portait de dessous. Des jumelles cochonnes qui cachaient bien leur jeu. Cela me donna envie de les baiser encore plus fort, mon fantasme était en train de se réaliser et je me sentais surhumain.

Elles m'ont déshabillées mais le coup de grâce c'est quand elles se sont se mises à me sucer ensemble. Oh lala c'était le paradis sur terre, je sentais la bouche de Florence qui aspirait mes boules et celle plus timide de Carole qui léchait mon gland. Elles venaient tour à tour m'embrasser et je pouvais en profiter pour toucher leurs seins magnifiques. Le fait de peloter deux femmes c'était merveilleux mais des jumelles waouh c'était presqu'irréel et pourtant elles étaient là à me quémander du sexe. Elles continuèrent à me lécher jusqu'à jouissance, j'avais deux bouches pour me vider et j'ai éjaculé comme un fou sur leurs deux bouches offertes. Je leur disais : "Hum les filles vous allez me rendre dingue, vous êtes tellement bonnes toutes les deux, vous êtes des bombasses, je vais vous faire gémir à l'unisson".

Après avoir bu jusqu'à la dernière goutte de mon sperme épais, elles s'allongèrent sur le lit et comme si elles avaient pu deviner mes pensées, elles s'embrassèrent à pleine bouche tout en se frottant l'une contre l'autre, leurs tétons dressés s'effleuraient et elles commencèrent à se toucher le minou en me regardant. Je choisis d'honorer ma femme en premier puisque ma belle-sœur était en train de lui lécher amoureusement les tétons. "Hum mes chéris c'est trop bon, doucement sinon je vais jouir très vite". Le vagin de ma femme était trempé, je me régalais de sa mouille abondante, la léchant tout en aspirant son jus, la doigtant content de l'entendre me dire :

"oh oui Marc vas-y, encore, mets plus de doigts mon amour, et fais goûter mon nectar à Caro". Je tendis ma bouche vers sa sœur pour qu'elle récupère sur mes lèvres le fluide gourmand de mon épouse trempée. Après l'avoir léché intégralement et entendu gémir avec force, on se remit à s'embrasser avant que ne vienne le tour de Carole.

Quel plaisir de lécher une chatte que je découvrais seulement maintenant, plus serrée que sa sœur, avec des lèvres encore plus charnues, seul le clitoris était le même, tel un beau rubis ruisselant. Sa façon de remuer et de gémir était différente également, mais tout autant émoustillante qu'avec mon épouse. Je me mis à lui bouffer la chatte pendant que ma femme me léchait l'anus, sentir sa langue dans ma rondelle pendant que je bouffais le minou de sa soeur fut pour moi une terrible expérience, je n'en débandais pas. Carole gémissait de plaisir en prononçant mon prénom. "Oh oui vas-y Marc oh c'est bon oh putain oui".

Au milieu du lit, les membres emmêlés entre nos trois corps, je ne reconnaissais plus qui était qui et c'était encore plus intense et plus fun. Je savais qu'elles ne s'arrêteraient pas là, et tant mieux car l'idée de les "démonter" toutes les deux m'ouvrit encore plus l'appétit. Le temps de s'embrasser un peu et ma queue était encore raide de désir. Caro se présenta en levrette et pendant que je glissais mon gland entre ses fesses superbes, ma femme lui donna quelques petites tapes qui la firent gémir. Apparemment mes deux salopes n'en étaient pas à leur premier coup d'essai. Cela augmenta encore plus les battements de mon cœur et de mes couilles. En m'introduisant dans la chatte de ma belle-sœur qui remuait assez rapidement son gros cul, je m'aperçus qu'elle était plus étroite mais moins profonde, je me mis à la marteler de gros coups de bites voyant qu'elle aimait ça, pendant que mon épouse lui suçait les tétons et l'embrassait. C'était un spectacle génial que je n'oublierais pas de sitôt. Personne n'avait parlé de capotes et je supposais donc que Carole devait prendre la pilule. Quand Caro commença à crier sous ma bite avide je me mis à rugir de plaisir lâchant toute ma purée. "Ko" je me reposais quelques secondes tombant entre les bras de mon épouse.

Elles étaient infatigables. Pendant que je laissais ma queue reprendre une forme appétissante je les regardais s'embrasser du bout de la langue, se titiller les mamelons, mon repos fut de courte durée car Florence vint agiter son bon gros popotin sous mon nez. Il n'en fallut pas plus à ma bite pour se dresser à nouveau. D'une voix gourmande elle me dit "Marc mon amour je veux que tu m'encules devant ma sœur". Elle regarda sa sœur d'une façon complice, et lança "tu veux voir ça hein ?". Carole répondit très vite "oh oui je vais même te préparer pour lui". Et là pendant que mon épouse me branlait sensuellement, en faisant de longs gestes lentement, j'assistais à une scène très hot.

Carole écarta les fesses rebondies de sa jumelle et cracha dans la raie tout en donnant de grands coups de langue. Je guidais la main de ma femme sur mes couilles afin qu'elle me les étire vers le bas comme elle savait si bien le faire. J'entendais mon épouse gémir "Oh Caro putain c'est bon, mets tes doigts aussi ma chérie hum". Quel bonheur de les regarder se donner du plaisir. Les doigts de Carole succédèrent à sa bouche et ma belle-sœur me fit signe de venir, je me penchais sur elle l'embrassant langoureusement juste avant d'enculer ma femme qui n'attendais que ça. C'est ma jolie cochonne de belle-sœur qui guida ma queue dans l'anus déjà entrouvert de Florence, puis d'un coup de hanche je m'enfonçais dans son rectum pendant que sa sœur se mit à lui caresser l'abricot. Mon épouse se mit à remuer dans tous les sens, baisée dans le cul pendant qu'on se fait doigter le minou c'est quelque chose. Je l'enculais en force car je sais qu'elle aime la sodomie un peu brutale, et au bout d'un moment entre ma grosse queue et les doigts de sa jumelle ma femme explosa de plaisir.

Après un long silence béat je me levais pour aller prendre une douche, pendant que l'eau coulait sur mon corps, je sentis plusieurs mains sur mes hanches et mon dos me caresser et comprit que la soirée était loin d'être finie.

Libertines dispos ici !